Laurent Ehrsam, chef de projets immobiliers chez EDF Renouvelables, qui occupe 300 postes de travail chez Newton Offices à Montpellier et 25 postes à Lyon 9e. Une installation des équipes qui s’est déroulée progressivement, au fur et à mesure de l’augmentation des effectifs. Avec 75 collaborateurs au départ, les équipes d’EDF Renouvelables occupent désormais plus de 300, répartis sur 6 étages entièrement privatisés. Un témoignage marquant, qui démontre l’évolution des besoins en termes de bureaux vers plus de flexibilité, chez les grandes entreprises comme EDF.

Les 3 points à retenir de ce témoignage : 

  • EDF Renouvelables a choisi Newton Offices pour installer ses équipes à Montpellier en 2020
  • Une installation progressive qui a suivi le rythme des augmentations d’effectifs successives
  • Aujourd’hui, EDF Renouvelables occupe 6 étages entièrement privatisés, sur le site de Newton Offices à Montpellier, ainsi que 25 postes de travail à Newton Offices Lyon 9e

Comment appréhendez-vous le bouleversement que traverse l’immobilier d’entreprise et quelles vont être ses conséquences ?

En tant que client Newton Offices, la crise a accéléré le processus de mise en place du télétravail. Nous avions déjà signé des accords d’entreprise en amont de la pandémie, nous avons désormais une charte régissant la qualité des conditions de travail des salariés au bureau comme à domicile.

L’augmentation des besoins et la révolution des usages se traduisent nécessairement par le recours à plus de services. Le poste de travail individuel reste indispensable mais la crise a surtout mis l’accent sur la nécessité d’espaces collaboratifs et d’annexes de convivialité. L’offre qui en résulte se métamorphose plus rapidement du fait de cette crise.

Pourquoi avoir eu recours à Newton Offices ?

Notre première démarche de collaboration remonte à trois ans. Dans le cadre de notre implantation à Montpellier, Newton Offices nous a apporté une localisation idéale et une flexibilité qui nous permettait d’occuper, progressivement, des espaces privatifs supplémentaires pour accompagner notre augmentation d’effectif.

Les services associés, disponibles immédiatement, ont fini de nous convaincre. En définitive, nous n’avons pas signé un bail mais un véritable contrat de services.

Comment se matérialise la flexibilité de l’offre ?

Pour rebondir sur cette flexibilité et cette adaptation, nous disposons à Montpellier d’un centre de commandes qui requiert des spécificités d’aménagement. Le service associé est toujours présent malgré la privatisation des espaces.

Plutôt qu’une valeur ajoutée, cette flexibilité ne va-t-elle pas devenir une nécessité ?

Nous sommes convaincus que ça va le devenir. Avec des bureaux accueillants et une dimension servicielle importante, il est plus facile de garder ses salariés comme d’en trouver de nouveaux.

Il a beaucoup été question d’exode urbain. Ressentez-vous ce phénomène dans vos fonctions ?

L’exode des Parisiens que l’on nous promettait massive n’a pas eu l’ampleur escomptée. Divers éléments entrent en compte : on parle d’un choix de vie, d’un changement fondamental, qui n’est ni facile ni immédiat.

Interview parue dans Décideurs Magazine, propos recueillis par Alban Castres

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